DESCARTES René, 1596-1850 JB, JC
Philosophe et mathématicien
Sources
ARON Émile, Descartes et la Méthode, Chambray-lès-Tours,
CLD, 1996, 155 p.
BOSSEBŒUF François, « Descartes et son œuvre scientifique
», BSAT, t. 11, 1897-1898, p. 47-63 et 83-97.
BROWN Theodore M., « Descartes : physiology », dans C.C. Gillipsie,
Dictionary of scientific biography, New York, Charles Scribner’s Sons, vol.
3, 1970-1980, p. 61.
HILDERSHEIMER Françoise, Monsieur Descartes, la fable de la raison, Paris,
Flammarion, 511 p.
LAURENCIN Michel, Dictionnaire biographique de Touraine, Chambray-lès-Tours,
CLD, 1990, p. 228-229.
LAURENCIN Michel, Le Lycée Descartes, Histoire d’un établissement
d’enseignement à Tours (1807-2007), Tours, Mame, 2006, 256 p [p.
15].
LE DOUBLE Anatole Félix, «Descartes, anatomiste et physiologiste
», Gazette médicale du Centre, 4e année, 1899, p. 179-180.
MAHONEY Michael S., « Descartes : Mathematics and physics », dans
C.C. GILLIPSIE, Dictionary of scientific biography, Charles Scribner’s Sons,
New York, vol. 3, 1970-1980, p. 55-61.
MASON S.F., « Descartes : la méthode mathématique et la philosophie
mécaniste », dans Histoire des sciences, chap. IV, Paris, Armand
Colin, 1955, 476 p. [p. 124-130].
PICHOT André, « Descartes et le mécanisme », dans Histoire
de la notion de vie, chap. V, Paris, Gallimard, 973 p. [p. 305-389]
SARTORI Éric, Histoire des grands scientifiques français, René
Descartes du Perron (1596-1650), maître et posssseur de la nature, Paris,
Plon, 1999, 644 p. [p. 87-117].
SHEA William R., « Descartes », dans M. BLAY et R. HALLEUX, La science
classique XVIe- XVIII e siècle, Flammarion, 1998, p. 234-244.
Descartes et les mathémtiques
Je me plaisais surtout aux mathématiques à cause de la certitude
et de l’évidence de leurs raisons […] Je m’étonnais
de ce que leurs fondements étant si fermes et si solides, on n’avait
rien bâti dessus de plus relevé.
L’arc-en-ciel dans les Météores :
L’arc-en-ciel est une merveille de la nature si remarquable et sa cause
a été de tout temps si curieusement recherchée par les
bons esprits et si peu connue, que je ne saurais choisir de matière plus
propre à faire voir comment, par la méthode dont je me sers, on
peut venir à des connaissances que ceux dont nous avons les écrits
n’ont point eues.